Holocaust Industry - Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering |
Finkelstein distingue l'« holocauste nazi » (le fait historique) et l'« Holocauste » (avec un H majuscule, la campagne de relations publiques menée selon lui depuis 1967 surtout aux États-Unis). C’est ce second aspect qu’il appelle « l’industrie de l'Holocauste ».
Dans son livre, il défend la thèse d'une « industrie » qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, de l’holocauste nazi pour générer pouvoir et amasser de gros capitaux. Cette industrie aurait à sa tête des organisations juives américaines cherchant la suprématie ethnique et le gain politique et financier2.
Quelques-unes des principales critiques formulées par Finkelstein dans son ouvrage :
- Le gain politique pour ces organisations juives se manifesterait dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine3 ;
- La poussée vers le gain financier se manifesterait par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle serait également mise en lumière par l'instigation de sentiments de culpabilité aux populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n'arriveraient pas à récupérer (fonds en déshérence) ;
- Les musées de l’holocauste monopoliseraient la souffrance de la Shoah pour les Juifs en excluant les autres groupes persécutés par les nazis ;
- Les survivants de l’holocauste seraient plus nombreux en 1998 qu'en 1945 ;
- Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ;
- Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ;
- Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ;
- De nombreux Juifs américains ne pratiquent pas le judaïsme mais l’ont remplacé par un dogme : la récolte de fonds pour les intérêts juifs.
suite sur wikipedia
L’Industrie de l’Holocauste
est le livre de l'historien américain Norman G.
Finkelstein publié en 2000 dont le titre complet est : L’Industrie
de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance des
juifs (titre original anglais : The Holocaust Industry -
Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering). Il s’agit d’un
constat documenté sur les pratiques des groupes d’intérêt juifs. (les
lobbies)
Le livre est une réponse au travail de l'historien américain Peter Novick
intitulé
The Holocaust in American Life qui analyse la façon dont
l’interprétation de l’holocauste s’est développée dans la vie
américaine.
Norman Finkelstein s'est aperçu que les critiques de Novick étaient trop modérées et en deça de la vérité, il a donc décidé
d'aller plus loin pour rétablir la vérité.
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Norman
Finkelstein distingue l'« holocauste nazi » et l'« Holocauste » (la
propagande sioniste de relations publiques menée
depuis 1967 surtout aux États-Unis, puis en France dès Giscard et
amplifiée par Mitterrand). C’est le contenu du livre « l’industrie de
l'Holocauste ».
Dans
son livre, il dénonce une industrie qui consiste en l’exploitation de
l'holocaust, pour générer pouvoir et amasser de gros
capitaux. Cette industrie a à sa tête des organisations juives
américaines cherchant la suprématie ethnique et le gain politique et
financier.
Moi j'ai bâti ma fortune en pleurnichant sur la shoah, Finkelstein n'avait qu'à m'imiter
Quelques-unes des principales critiques formulées par Norman Finkelstein dans son ouvrage :
- Le gain politique pour ces organisations juives se manifeste dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine ;
- La poussée vers le gain financier se manifeste par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle est également mise en lumière par l'instigation de sentiments de culpabilité aux populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n'arriveraient pas à récupérer (les fameux fonds en déshérence) ;
- Les musées de l’holocauste monopolisent la souffrance exclusive pour les Juifs en excluant les millions de victimes de la guerre indignes aux yeux des juifs d'être mentionnées. (les juifs se considérant comme supérieurs et seuls dignes d'étaler leur souffrance aux yeux du monde (ils se font appeler : le peuple élu) ;
- Les survivants de l’holocauste sont plus nombreux en 1998 qu'en 1945 (ce qui a permisd'extorquer des fonds aux goys)
- Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ;
- Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ;
- Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ;
- De nombreux Juifs américains ne pratiquent pas le judaïsme mais l’ont remplacé par un dogme : la récolte de fonds pour les intérêts juifs.
Norman
Finkelstein ne veut pas accuser les victimes elles-mêmes et estime
qu’elles ont droit à un dédommagement. Il conteste
surtout le fait que, selon ses recherches, d'importantes sommes
arrivent dans les poches des organisations juives américaines, argent
qu’elles utiliseraient pour mener à bien leurs propres
projets plutôt que de reverser les sommes dues aux hypothétiques
survivants.
norman g. finkelstein - l-industrie de l-holoc.pdf |
Le
livre a reçu aux États-Unis le soutien de Noam Chomsky et d'Alexander
Cockburn.
L'éminent historien de l'holocauste Raul Hilberg a également exprimé
son admiration pour le travail de Norman Finkelstein : «Lorsque j’ai lu le livre de Finkelstein L'Industrie de
l'Holocauste juste après sa publication, j’étais moi-même en
pleines recherches sur ce genre de questions, et j'en ai conclu qu’il
suivait la bonne piste en ce qui concerne la partie du
livre portant sur les réclamations contre les banques suisses et
d’autres accusés en lien avec le travail forcé. Quand j’y réfléchis, je
trouve qu’il a été plutôt modéré et que ses conclusions
sont certainement fiables. Norman Finkelstein est un spécialiste de
la science politique expérimenté, sachant mener des recherches, et il
est arrivé aux résultats corrects. Je ne serai
certainement pas le seul dans les prochains mois et années à me
déclarer entièrement d’accord avec la percée réalisée par Norman
Finkelstein. »
De nombreuses critiques se sont cependant élevées contre le livre de Finkelstein, lui reprochant de renforcer les sentiments
antisémites. ("si t'es pas avec moi, t'es contre moi")
« Des flammes géantes jaillissant d’une fosse dans laquelle on
jetait des bébés juifs. » Elie Wiesel (le mur des lamentations ambulant)tiré de son livre : "la nuit"
(ANTHOLOGIQUE ! à graver dans le marbre les mecs)
Reconstitution de la flamme géante de l'escroc Elie Wiesel
(pour les "sales nazis" qui ne veulent pas
croire)
(oui à l'époque on faisait croire qu'on tuait
les juifs dans les fours
crématoires géants mais c'était peu crédible, on a vite changé de cap
et depuis il faut dire : "exterminé dans les chambre à gaz" et le goy
lui au moins il y
croit)
Les musées de l’holocauste les plus importants aux États-Unis, soit le Holocaust Memorial Museum à Washington et le
Museum of Tolerance (Simon Wiesenthal Center) à
Los Angeles, ne veulent pas se limiter aux simples victimes juives, ceci
malgré la crainte exprimée par Elie Wiesel que le
caractère unique de l’holocauste pourrait sinon s'effacer du moins
s'affaiblir. Ces musées ont officiellement été consacrés à la
commémoration des six millions de Juifs assassinés, tout comme
plusieurs millions d’autres victimes du national-socialisme comme les Slaves, Tsiganes, handicapés, témoins de Jéhovah, homosexuels, syndicalistes (dans les pays occupés), dissidents
politiques et prisonniers de guerre soviétiques.
Norman Finkelstein est un américain de parents d'origine juifs polonais
Il ne peut, comme c'est la coutume être accusé d'antisémitisme
Le professeur Novick est, comme le montre son livre, assez critique envers les grandes organisations juives américaines. Norman
Finkelstein lui rend d’ailleurs un hommage appuyé, et souligne que c’est la lecture de The Holocaust in American Life qui l’a incité à écrire L’Industrie de l’Holocauste.
Dès la
parution du livre de Finkelstein, Novick a cependant exprimé
publiquement le profond mépris que celui-ci lui inspire. Lorsque
Finkelstein a été traduit en allemand, Peter Novick est revenu sur le
sujet dans un article publié début février par la Süddeutsche Zeitung : « Il est difficile, écrit Novick, de voir dans L’Industrie de l’Holocauste
quelque chose qui donnerait
lieu à un débat. » Concernant les assertions de Finkelstein sur la
question de la restitution des biens juifs, il déclare qu'un « bon
nombre relève de la pure invention ». Ainsi, Norman
Finkelstein affirme que le Congrès juif mondial a amassé au moins
sept milliards de dollars. Quant à la thèse centrale de Finkelstein sur
le rôle des élites juives dans l’industrie de
l’Holocauste elle s'est avérée exacte. Voir les dossiers sur l'AIPAC
-USA-Israel.
Norman Finkelstein donne sa réponse dans le préface de sa deuxième édition : « Les critiques émises par le mainstream
(l'opinion majoritaire et dogmatique) prétendent que je développe
une « théorie du complot » alors que ceux de gauche ridiculisent le
livre comme une « défense des banques ». Pour autant que je
sache, personne ne met mes constatations factuelles en question. »
En France occupée, le livre fera l'objet d'un procès pour « diffamation raciale » et « incitation à la haine raciale » intenté
par Avocats sans frontières, que Norman Finkelstein et son éditeur gagneront en première instance et en appel.
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