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vendredi 24 janvier 2014

Le Juif de Wall Street !

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Tout au long de l’histoire la juiverie organisée a œuvré à la subversion des sociétés chrétiennes et sapé les valeurs chrétiennes. Le film « Le loup de Wall Street » perpétue cette tradition en glorifiant et normalisant un comportement dévié et dégénéré.
« Les goyim sont un troupeau de mouton et nous sommes leurs loups. Et savez-vous ce qui se produit lorsque les loups s’emparent du troupeau ? » Protocoles des Sages de Sion 11

« Le loup de Wall Street » dirigé par Martin Scorsese est un film sur des Juifs arnaquant des goyim et se défonçant à la cocaïne tout en fréquentant des prostitués. Mais vous ne vous en rendrez pas compte parce que le protagoniste est un goy joué par Leonardo di Caprio, choisi à dessein pour propager les valeurs sataniques du film.
Tout comme beaucoup de Juifs changèrent leur nom, Hollywood s’emploie à dissimuler l’ethnicité des personnages. Par exemple, dans Chicago, l’avocat juif joué par Richard Gere est présenté comme l’Irlandais « Billy Flynn ». Dans « Le mystificateur », le plagiaire juif homosexuel est dépeint comme un goy hétérosexuel, de manière à convaincre les goyim que le comportement juif gay est le leur. Dans Mean Streets, Martin Scorsese dépeint les criminels de rue comme étant blancs, alors qu’en réalité ce sont des noirs.
Tout au long de l’histoire l’antisémitisme était justifié parce que les Juifs s’employaient à subvertir les sociétés chrétiennes et à saper les valeurs chrétiennes, aidés en cela par leurs marionnettes franc-maçonnes. Le loup de Wall Street est l’histoire d’un arnaqueur juif Jordan Belfort qui a vendu pour des millions de produits financiers frauduleux à ses clients. Il finit par faire une overdose de drogue, puis il divorce et passe 22 mois en prison. Il n’a toujours pas remboursé ses victimes.
Le film célèbre la fraude, la crudité sexuelle et la drogue, y compris la masturbation homosexuelle et le fait de sniffer de la cocaïne sur les fesses d’une prostitué. Le mot fuck est utilisé 569 fois. Il a reçu d’excellentes critiques, déjà engrangé 80 millions de dollars et reçu cinq nominations aux Oscar y compris celui de meilleur film, meilleur réalisateur et acteur.
De manière symbolique, le film est sorti le jour de Noël.

LA VÉRITABLE HISTOIRE

La véritable histoire n’est pas racontée. Pourquoi Belfort et ses collègues Juifs n’éprouvent-ils aucun remord en confisquant les économies de toute une vie ? C’est parce qu’il s’agit de goyim !
L’écrivain juif Ron Eshman évoque cette question dans un article : Jordan Belfort et le problème juif dans le loup de Wall Street.
jonah(Jonah Hill joue le seul personnage explicitement juif Donnie Azoff)
« Mais entre nous (les juifs), parlons de Belfort le juif – parlons-en. Dans le film on ne parvient jamais à comprendre comment quelqu’un d’aussi doué puisse être à ce point moralement détaché. Mais dans ses mémoires, à partir desquelles le film est tiré, dès que Belfort fait référence à ses racines juives, le diagnostic devient plus évocateur.
C’est un gamin de Long Island. Son père, Max, a grandi au sein du vieux Bronx juif, à l’époque de la grande dépression. Belfort n’a pas du tout été élevé dans un environnement pauvre, c’est juste qu’il n’était pas assez riche à son gout. Le manque présent en lui n’était pas imputable à la pauvreté, mais à son désir de reconnaissance. Les « WASP au sang bleu », écrit Belfort, me considéraient comme une attraction juive de cirque. »
Belfort évoque ses recrues de la manière suivantes : Ils étaient les jeunes juifs les plus sauvages de Long Island. Venant de Jéricho et Syosset, c’est de la moelle de ces deux ghettos juifs de la classe moyenne supérieure que la plupart de mes cent premiers Strattonites provenaient… » Il avait donné à sa compagnie le nom goy de Oakmount Stratton.
belfort(Le vrai Jordan Belfort)
Cela n’est vraiment pas compliqué à comprendre. Le pauvre petit Jordan voulait montrer à ces WASP et à leur country club au sein desquels il ne pouvait pas pénétrer, qu’il était plus intelligent, plus riche et meilleur qu’eux. Ce qu’il ne comprenait pas est que tout juif, toute minorité en fait, partage le même désir. Mais seuls quelques un décident que le seul moyen de s’en sortir est de faire du mal aux autres. »
Eshman s’engage dans l’auto-tromperie juive typique : la croyance que les juifs réagissent à l’antisémitisme alors qu’en fait ils en sont la cause profonde. Le Talmud prêche que les non-juifs sont des animaux créés pour servir les élus. Ce sont les attitudes provoquées par ce racisme, ainsi que le Satanisme inhérent à la Kabbale qui ont causé l’antisémitisme.
Eshman suggèrent aux juifs de se demander s’il n’y a pas quelque chose de fondamentalement mauvais dans leurs valeurs : « Belfort, tout comme Bernie Madoff, est un exemple extrême. Ce sont des gens qui sentent qu’ils n’ont rien, qu’ils ne sont rien, alors ils font tout pour tout avoir. Ils franchissent continuellement la ligne jaune.
La question qui me taraude est : n’y aurait-il pas quelque chose qui cloche au sein de la vaste zone grise qui les mène à franchir cette ligne. Les Belfort et les Madoff sont-ils des mutations non naturelles, ou sont-ils les excroissances inévitables d’attitudes profondément enracinées au sein de notre communauté ?
De nos jours, nous débattons ardemment au sujet du boycott par l’ASA (American Studies Association) des universitaires israéliens et sur le fait que les étudiants juifs du Swarthmore College doivent accueillir des intervenants anti-sionistes… Mais est-ce que le débat dont nous aurions besoin au sein de notre communauté ne concerne-t-il pas les conditions favorables à l’émergence du prochain Madoff ou du prochain Belfort. Cela n’est pas un film, c’est une honte. »

CONCLUSION

Félicitations à Rob Eshman pour oser aller aussi loin. Mais les juifs doivent aller bien plus loin et reconnaitre que le judaïsme kabbalistique est essentiellement un culte satanique. Le fait qu’il se soit emparé du monde sous couvert de la laïcité n’en réduit pas la nocivité.
Et tout le monde doit attaquer Hollywood pour son influence pernicieuse sur la société moderne. Un scénariste a même confronté Scorsese et Di Caprio lors d’une projection, en leur disant : « Honte à vous. C’est dégoutant. » Une actrice Hope Holliday a tweeté : « Trois heures de torture. La même merde dégoutante déversée jusqu’à la nausée. » La fille de l’un des acolytes de Belfort a été jusqu’à dénoncer publiquement la fausseté de son mode de vie. « Derrière tout cela, il n’y avait vraiment qu’une spirale honteuse de perdition masquée par l’addiction, que nous aimons appeler ambition, alors qu’il s’agit seulement d’avidité. »
Un autre reproche contre les juifs est qu’ils ne produisent rien, mais ne font qu’échanger. Je ne pense pas que cela soit vrai de la plupart de ceux qui travaillent très dur au sein de professions diverses et variées. Pourtant le marché boursier est devenu un gigantesque casino et les goyim sont maintenant aussi devenus des traders à temps-plein. CNBC analyse 24 heures sur 24 des achats et des ventes. En toute occasion, la question est : « combien cela peut rapporter ? » Puis Jim Cramer survient avec un « argent fou » et tente les goyim encore plus.
Le marché boursier est encore plus tentateur que la pornographie. Qui peut résister à la tentation de gagner de grosses sommes d’argent en tapant sur quelques touches de clavier ?
Le loup de Wall Street se présente comme un conte moral. Mais au final il ne fait que promouvoir la chose qu’il prétend condamner ; ce qui me pousse à m’interroger : « les juifs Illuminati et les francs-maçons nous conduisent-ils vers une chute similaire à celle de Jordan Belfort ? »

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